Wind wind howling in my face, tearing up the asphalt. I'ma getting up in the place. Run, run no where left to hide. I must take a stand now, find the strength inside. Welcome to the vortex, absolute ground zero of my heart, pinnacle of the apex. Nothing's gonna tear my soul apart. -- feat. @Aleck Lockwood
Il y a ces signes qui ne trompent pas. Des débris qui n'ont pas la teneur, la consistance de ce qui aurait pu être une magnifique et confortable maison où un couple aurait pu s'établir comme veut le vendre le mythe de l'American Dream. Non, tout ce que l'on trouve sur cet immeuble de Downtown, ce sont des débris secs, mornes, aux odeurs chimiques. Il n'y a pas l'ombre d'un doute quand l'on regarde l'état d'effondrement de cet appartement, ce qui s'est déversé le long des escaliers et sur les habitations se trouvant en dessous comme au dessus. C'est ce qu'en tout cas a avancé cette dénommée Elsa Goldenstein. Mais elle n'a pas été entendue comme elle l'a voulu, on lui a même ri au nez en lui disant qu'elle ferait mieux d'accepter l'offre proposée en guise de réparation, plutôt que de continuer à clamer partout où elle va que ceux morts sous l'effondrement de cet appartement en rénovation, ne l'ont pas été par accident.
Pourtant Elsa a continué de clamer sa vérité, et cela a fini par agacer certaines oreilles qui auraient mieux voulu que cette histoire finisse par s'étouffer autant que s'étaient étouffées les victimes collatérales de ce "presque" accident. Agressée par des petites frappes pour qu'elle se taise, Elsa s'était donc retrouvée à l'hôpital, sans que l'on ne se soucie guère de son état, ni même de son témoignage. Ainsi est la corruption à Gotham ... jusqu'à ce que ce genre d'histoire remonte aux oreilles des bonnes personnes. Et celles de Mari font parti de celles-ci.
« Mrs Goldstein ? Je suis Vixen et je suis là pour vous aider. »
A-t-elle clamé à la dame alitée, en arrivant comme si de rien n'était depuis la fenêtre de cette chambre d'hôpital. Flottant encore un temps dans les airs avant de poser ses bottes au sol, la justicière glisse d'un pas grâcieux vers la brune, qui la regarde d'un oeil à la fois vitreux et empli d'une certaine forme d'intimidation.
« M'aider ? Je n'ai fait que demander ça pendant ces deux derniers mois, et regardez où ça m'a menée ... »
« Je sais. Les gens comme vous, on les laisse facilement de côté, ce qui n'est pas mon cas. Malheureusement, j'ai beau être efficace, je ne peux pas me dédoubler. »
La femme arque les sourcils, prise de court par le culot dont fait preuve la justicière. Sauf qu'elle ne peut décemment pas répliquer vu son état, et son besoin d'avoir quelqu'un qui finalement se rallie à sa cause. Quitte ... à ce que cela soit fait avec les méthodes connues de la justicière lui faisant face. Car elle sait combien Mari McCabe s'occupe efficacement du cas de ceux qui osent outrepasser les lois. Depuis son retour en Amérique, la zambésienne n'a fait qu'affirmer l'importance de ce besoin punitif que depuis des dizaines d'années d'autres se sont permis de juger. Et Elsa en a fait partie ... jusqu'à ce qu'on la frappe. Et Elsa parle de son problème à cette héroïne à la peau couleur café, et aux yeux verts aussi sauvages que ceux d'un animal. Elle lui parle de son ami maçon, qui travaillait sur la rénovation de cet appartement, un certain Bailey. De l'effondrement du plafond sur sa personne en raison de mauvais matériaux. Tout du moins, c'est ce qu'affirme la femme à Mari.
La voilà donc sur le site de cet immeuble condamné. Où des gens qui espéraient vivre tranquillement se retrouvent finalement à la rue le temps que les lieux soient assainis. Selon ce qu'elle a pu glaner en y allant au forcing ou aux méthodes douces, Mari sait à présent que des indemnités ont été proposées aux autres résidents, ou aux familles de ceux morts durant l'effondrement. Ce qui veut dire que la compagnie à l'origine de ce fiasco, ou même ceux ayant des droits sur l'immeuble ont quelque chose à cacher, vu le traitement réservé à Goldstein suite à son refus puis son besoin de clamer sa vérité. L'esprit du chat volète autour de la porteuse du Totem de Tantu, avant qu'elle ne commence à marcher et bondir avec la grâce et la légèreté féline de l'animal. Sans mal et sans casse, elle monte au milieu des débris, des restes de cette zone qui ressemblerait presque à un éventré d'immeuble en pleine guerre. Son pas ralentit, s'appose et mesure de son poids sol comme fondations morcelées pour grimper sur les fameuses hauteurs où tout a commencé, et où tout est resté à l'abandon depuis deux mois.
À dire vrai, cet événement n'est pas le seul de cet acabit qui est survenu à Downtown. Certaines maisons plus pavillonnaires ont eu ce genre de traitement, sans que l'on en sache vraiment la cause. Et cela survenait sporadiquement via l'intermédiaire de trois petites sociétés de construction, qui parfois disparaissaient pour réapparaître sous un autre nom. Mari en avait eu vent il y a de ça un an, quand Gary son agent lui avait fait un de ses nombreux topos sur ce qu'il se passait dans son pays tant regretté, entre deux missions dans les pays africains. Bien que ce soit assez gros (et ce qui est gros et corrompu, ça passe généralement), la compagnie d'assurance à charge faisait en sorte d'établir par constats "d'experts" que chaque incident, jusque là sans victime, n'arrivaient qu'en raison de défauts ouvriers. Selon Goldstein, c'est impossible, cela va au delà de la responsabilité des travailleurs. elle en est sûre car son ami maçon (et ami d'enfance) était un travailleur irréprochable. D'où le pourquoi Mari inspecte à sa manière ce soir les lieux de l'effondrement ... sans se rendre compte pour le moment qu'une seconde partie est elle aussi présente. Une présence qu'elle a déjà dû "supporter", il y a de ça quelques années ... et finalement, les instincts passés par le chat lui indiquent cette présence, lui indiquent le potentiel danger. Et elle se tient prête à bondir au besoin sur le potentiel danger.
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Sujet: Re: House of Ashes (Vixen & Aleck) Sam 16 Mar - 20:20
Les escroqueries aux logements ne sont pas nouvelles, ni même régulières mais courantes en période de crise. Quand l’argent domine le monde depuis longtemps, on en oublie qui fait ce dit agent « l’humain »… et l’humain pâtit toujours des malveillance et de l’avarice de son espèce. Le monde ne changera jamais et pourtant Aleck aimerait bien y apporter un peu plus de justice, afin qu’une forme de paix puisse être possible. Certes, jamais l’humanité ne sera bonne, il y aura toujours du travail pour la police… mais en avoir un peu moins serait appréciable, surtout avec l’impression que cela change quelque chose.
Ce dossier était arrivé sur la grande pile de son bureau, Jake était très occupé par l’Agence afin de la monté, un nouvel espoir pour l’humanité ou du moins pour ce pays, allié justice et super héros, voilà un projet des plus inattendu, surtout né entre LE Supercollant et un lieutenant de police. Aleck ne pouvait mener de front ce projet, il était l’un des fondateurs mais avait mis son meilleur ami et coéquipier dessus, lui qui rêvait de ce genre de chose et avait une approche plus appréciable envers les super-héros, chose qu’Aleck peinait. Certes ils étaient utiles, mais bon, ils restaient quand même une réponse au mal des villes et les empirait sans le vouloir.
Enfin bon ce dossier était donc sur son bureau, il ne se chargeait pas des arnaques, or, il avait eu des morts. Il fallait acter si ce n’était que accidentel, volontaire ou un de ces cas, de responsabilité à cause des matériaux défectueux et donc un « accident avec intentions » qui laisse plus d’amertume qu’autre chose. Madame Goldenstein n’avait jamais été entendue, jusqu’aux écroulements d’un appartement tuant plusieurs personnes. À croire, qu’on ne veut plus écouter les gens quand ils sonnent des alertes, non, on préfère s’indigner en mode « mais comment c’est possible » quand l’accident arrive. Ce qui laissait penser à bien plus qu’un « accident causé par malveillance économique » si on pouvait dire cela, était la manière dont était intimidé les témoins et plus particulièrement Elsa Goldenstein, aujourd’hui à l’hôpital. Un autre porte-parole, Tim Haward avait été lui… Retrouvé mort dans une poubelle, son corps retrouvé par un SDF voulant trouver un peu de chaud… Son cri avait alarmé un policier dans le coin et, par la suite, le corps à la morgue. Après analyse, il avait été roué de coups et éventré à plusieurs reprises, signe de torture évidente. En ça, pour ce meurtre, la cellule de crime d’Aleck était donc la meilleure pour y répondre. Combien de temps restait à vivre à la pauvre Elsa ?
Aleck relu la déposition d’Elsa, alors qu’il avait sous les yeux celle de la femme de Tim, elle aussi recouverte de coups, mais n’avait pas eu la fin de son mari… mais elle ne voulait plus témoigner de peur qu’on s’attaque à ses deux enfants. Aleck soupirait intérieurement, comment les humains pouvaient en arriver à tant de cruauté envers eux même ? Parfois, il se sentait dépassé par les desseins des uns. Il prit ses affaires, autant allé sur le terrain et dénicher quelques preuves, mais surtout, la raison de tant des malfaçons de cet immeuble, les trois entrepreneurs perdaient trop d’argent avec cette mauvaise pub et à reconstruire… certes dans un quartier pauvre, mais résultat il risquait de perdre des nouveaux marchés sur les autres rives de Gotham. Il avait une trop grosse concurrence en ce moment pour justifier des malfaçons aussi grandes, à moins qu’il ait quelque chose à cacher ? Surtout qu'il avait d'autres maisons, plus pavillonnaires avec ce genre de soucis. Il avait tout un dossier sur la compagnie d’assurance qui couvrait le tout, mais elle ne pouvait pas tout cacher tellement ça durait et puis des morts et ces nouveaux témoins morts de manière atroce… et selon le rapport du légiste, il avait même des morceaux en moins, un trafic d’organes ? mais … Pourquoi seulement sur un témoin gênant ? Aleck attendait des nouvelles d’un indic, qui bossait sur les échanges du marché noir via une plateforme du dark net… une précaution qu’Aleck prenait dès qu’il manquait des « bouts humains », au vu du prix que se vendent des organes or, il avait aussi des remèdes douteux, des cannibales ou même des mages nécromanciens qui aiment certaines parties humaines pour leurs petits délires ésotériques.
En arrivant sur les lieux de l’éboulement, il activa son sort de la bénédiction de la Harfang, lui permettant d’avoir, une meilleure vue, ouïe et odorat. Certes il pouvait sortir ses ailes hors d'ici, il n’en avait pas besoin. Son tatouage sur son bras droit caché par sa chemise et veste en cuir brun brillait. Il se faufila sous les grillages et commence à grimper sur les décombres, le cœur un peu lourd, d’imaginer la chute et l’effroi des victimes. Il avait de sacrés blocs, ainsi des vestiges des foyers. À bonne hauteur, il se baissa, allant ramasser un bout de papier flottant coincé sur une ferraille, il était brûlé. Étrange. Il continua sa marche avant de se retrouver à l’ombre d’un éboulis, entendant plus les quelques pierres roulantes sous ses pieds que le souffle de la prédatrice. Interloqué par quelque chose de rond et brillant, il dégagea quelques petits décombres découvrant dans le béton le reste de vêtements, comme coulé dedans. Une respiration. Un fourmillement magique …
Il fronça les sourcils, continuant quand une ombre le surplombe ! Il fit un écart et perdit l’équilibre, tombant de sa faute ou bien parce qu’on venait de lui sauter dessus ? Vaste question… mais il en perd ses lunettes de soleil, laissant voir son regard vairon brun et or et il se tapa lourdement le bas des reins sur un bloc de béton.
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Sujet: Re: House of Ashes (Vixen & Aleck) Dim 17 Mar - 13:32
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Et effectivement, le félin tombe sur sa proie. Habitée par ce désir de mettre à terre, ce qui arrive bien trop facilement sur ce territoire qu'il s'est de lui même octroyé. Non sans être assez agile pour ne pas créer un nouvel éboulement sur les surfaces les plus branlante de la zone, Vixen attrape l'inconnu aux épaules et le jette à terre sur ce reste de sol en lino. Les yeux luisants d'un vert émeraude aussi frappant que dévorant se mettent à jauger l'homme se retrouvant entre ses griffes, jusqu'à ce que cette voix la frappe en un lointain écho. Un souvenir. Celui d'une affaire commune, cette éthique où les justiciers ne sont pas la bienvenue selon ses dires. Vixen renifle un coup le visage de l'homme et ça y est, cela lui revient. Oh. Elle connait cette voix.
« Lockwood. »
Grogne-t-elle autant dans un relent de mécontentement, que d'une certaine forme d'appréciation. Certaine forme, est important. Car elle n'est pas non plus en bons termes avec le représentant de la loi. Disons qu'ils savent se cautionner. Dans le cadre professionnel. La zambésienne roule donc des yeux et se relève d'un pas léger avant de tendre la main vers Lockwood.
« Nos chemins se croisent à nouveau. Je n'aurai pas pensé qu'un cas d'effondrement d'immeubles intéresserait la criminelle. »
Mari plisse les yeux, et étire ses lippes en un sourire carnassier. Cela veut dire que cette affaire va bien au delà de la possible escroquerie aux assurances. Est-ce étonnant au regard de tout ce qu'il se passe à Gotham ? Pas vraiment. Tant que cela rapporte de l'argent aux crapules notoires, tout y passe. Maintenant debout sur cet espace restreint et tout de même peu stable, les deux se jaugent encore un temps, avant que Mari n'inspire brièvement en signe d'agacement, et ne tourne les talons pour se concentrer à nouveau sur ses recherches.
« En tout cas, je préfère avoir votre personne en ces lieux qu'un de vos collègues peu scrupuleux. Je sais que vous n'êtes pas là pour effacer les preuves restantes. »
Il fallait reconnaître que le brun sait faire son travail, et que son éthique devrait être reconnue sur le panthéon des parangons de vertus de Gotham, tant il est rare de voir ne serait-ce qu'une moitié de vertu dans ces rues. Vixen lève son nez, comme attirée par une soudaine odeur. Chimique, présente. Affreuse, mais tout de même intéressante. Elle avance donc à pas de chats vers celle-ci en laissant le policier un peu derrière elle, sans pour autant complètement le distancer.
« Je suppose que vous avez lu le rapport sur Goldstein hm ? Elle a refusé l'argent de l'assurance suite à la mort son ami. Bordel, mais ça pue vraiment par ici. »
Comme une odeur de colle, de très mauvaise qualité. Piquante, au point que la justicière en tire la langue. Ce genre de parfum peut rester imprégné pendant des jours et des jours, d'autant plus sur des débris qui ont brûlé puis eu le temps de pourrir. Pinçant donc son nez en arrivant dans la zone, la brune pousse du bout du pied un morceau de bois sur lequel la gravure d'une entreprise aux trois quart effacée apparaît : "son (...) & (...) val Fields", voilà tout ce qui apparaît. Une maigre preuve, mais une preuve quand même dont elle s'empare avant de rejoindre Lockwood de légers pas.
« Je suppose qu'on est repartis pour un tour ? Ou vous avez toujours à coeur de rappeler que je fais partie de cette catégorie de vilains justiciers ? »
Elle lui tend le bout de bois, non sans arquer les sourcils et pincer légèrement ses lèvres dans un début de légère plaisanterie.
« Même si je crois que je suis reléguée en bas de classement en ce moment. Votre mascotte de ville crève tous les records non ?»
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Sujet: Re: House of Ashes (Vixen & Aleck) Dim 24 Mar - 17:10
Épaule saisie, une force édifiante, puisqu’il faut quand même le bouger avec ses 1m90 de muscle et… une pierre peut-être malicieuse et boum, il se retrouva donc le cul à terre et le coccyx contre un gravats qui allait lui faire mal quelques jours… au moins Jake pourrait le blaguer sur le fait qu’il s’est fait péter le cul sur un chantier ! Blague raffinée bonjour ! Enfin, sur le coup, il leva le regard sur la sciotte qui lui fait face, serrant plus fort sa prise sur un gravat et… des yeux vert émeraude reluisant à contre soleil … Catwoman ?
En-tout-cas, il devrait lui dire qu’elle devait changer de parfum, celui de cet endroit est vraiment entêtant et insupportable… Chimique.
Ah non…
Il aurait préféré ! C’est « juste » l’autre tarée (oui, c'est gratuit, car à cause d’elle, il a mal aux fesses !) de Vixen. Elle allait encore lui péter les pieds et lui filer une migraine ? C'est fou ! les super héros sont toujours là (pire que les moustiques), où on aimerait qu’ils aillent bouger leurs culs ailleurs !
« Oui, c'est moi ! Et vous n’êtes pas censé être si géniale pour identifier une menace avant de la coucher au sol ? » pesta t’il, oui, même si elle pouvait redouter un ennemi( et dans ce cas, il est sur la bonne voie) quand même ! En plus elle lui grogne dessus !… au moins elle n’était pas lui à lui menacé avec une arme sur sa gorge ! Il lui prit la main et se releva avec elle, avec la furieuse envie de la foutre par terre, or s’il est assez « honorable » pour ne pas faire ce genre de gaminerie… pour le moment.
En sentant la main chaude la femme dans la sienne, il put sentir la magie de façon plus forte. Oui, il avait déjà détecté qu’elle en usait, mais il n’avait pas encore pu identifier la source puisque parfois, elle n’avait qu’une fine effluve ! Il pensait à un artéfact.
« Merci. » dit’il pour la main en s’époussetant un peu, l’écoutant… ne la quittant pas des yeux, se demandant si elle allait lui dire de foutre le camp et donc se prendre le nez ? Ouai, elle devait savoir qu’il avait la langue aussi affûtée que ses griffes ! Ah, presque un mot gentil : Il eut un rictus au coin des lèvres. « Ouai, je n’ai pas cédé aux sirènes de la corruption. Elles ne nagent pas assez bien. » dit’il ironiquement « et pour vous répondre, c’est qu’il n’a pas qu’une question de malfaçon pour gagner quelques ronds, de la part de constructeurs croisés picsous. » il la regarda de son regard bicolore et hocha la tête a ses prochains mot sur la pauvre femme, retrouvé à l’hôpital… la langue qu’elle lui fit, le fit pouffer… oui ça pue énormément, comme la colle chimique et … oui cette odeur va leur filer la migraine.
« Ouai … ce n'est pas normal. » même un odorat humain pouvait le percevoir, mais pour lui c’est une horreur… Il espère ne pas en avoir sur les fringues ! Il la vie partir vers la direction de l’infâme odeur découvrant donc une petite pancarte en bois nauséabond, il ne la suivit pas, si elle veut se tacher le nez, qu’elle y aille seule. Elle reviendrait le voir donc il l'attendait. Elle le prit de court en parlant.
Il eut un rictus ironique à propos de la plaisanterie sur Batman, ouai lui il crève le record … « Ouai, mais lui ce n’est plus un justicier. » ouai, pour le côté Agence,Jake et Super Collant en chef serait fier de lui ! Fait chier ! il roula des yeux avant d elui répondre avec un ton cynique : « Mais vous faites toujours partie de cette catégorie de super collants qui ont le don d’être dans mes pattes ! Et là, vous avez passé l’étoile : relou !» oui il l'embête un peu là quand même ! « … mais si je vous dit d’aller voir ailleurs, je pense qu’on va devoir se battre et j’ai pas envie de perdre ce temps en chamaillerie. Donc… ouai, si cette fois, vous ne me filez pas une migraine ! » il devait faire avec … car elle allait lui coller au train et ils vont perdre du temps à se disputer, même si bon ça … il sait que ça va être le cas. « Interdit de me sauter dessus ! » dit’il en levant un doigt. « Vous avez trouvez quoi ? et oui j’ai vu Goldstein, mais Tim Haward, un porte-parole a été retrouvé mort. » et même s’il devait prouver qu'il n'était pas mort tout seul, les preuves de la morgue montraient qu’il avait été assassiné, hors, la preuve serait de relier avec les entrepreneurs et franchement… Aleck ne se faisait aucune illusion, surtout avec les menaces reçue par la femme d’Haward. « Il a été intimidé. Les résultats de la morgue montre qu’il a subi des tortures, je suppose, qu’il avait des preuves qui ont fâché quelqu’un... » il lui fit signe de continuer à explorer l’endroit, il devrait trouvé ces preuves, mais la femme refuse de parler.
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Sujet: Re: House of Ashes (Vixen & Aleck) Mer 27 Mar - 20:36
Wind wind howling in my face, tearing up the asphalt. I'ma getting up in the place. Run, run no where left to hide. I must take a stand now, find the strength inside. Welcome to the vortex, absolute ground zero of my heart, pinnacle of the apex. Nothing's gonna tear my soul apart. -- feat. @Aleck Lockwood
Ah ... Lockwood. Toujours aussi charmant, toujours autant dans le jugement, le râle. À peine touché, le voilà qu'il claque des dents, grognant, rebutant, affirmant qu'elle aurait pu être plus lucide et capable en utilisant ses pouvoirs. Il est vrai qu'elle aurait pu faire mieux. Mais en avait-elle vraiment envie. Pas vraiment. Car détecter, attendre en des telles circonstances et dans un tel environnement aurait pu lui être désavantageux, si la personne n'avait pas été le brun aux yeux bicolores. Et finalement, le jeu en vaut la chandelle, vu qu'elle a de nouveau l'occasion d'entendre cet éminent membre des forces de l'ordre d'onner de la voix et rappeler à la face du monde qu'il est vivant malgré tout ce que ce monde injuste fait de gens comme elle, peut lui faire subir.
« Vous avez raison, il aurait fallu que je vous fasse un peu plus d'ombre en me mettant vraiment au dessus de vous. »
Elle s'est alors fendu d'un sourire, avant qu'il n'officie pour se rendre de nouveau présentable et la remercie tout de même de son aide. Même si il râle beaucoup sur sa condition, les justiciers, et qu'elle ne peut s'empêcher de sentir que quelque chose la relie d'une façon proche à ce qu'il dégage en énergie (une énergie animale), elle aime bien Lockwood. C'es comme Nalavia, il y a toujours une espèce de bonne aura du je m'en foutisme et de la violence bien sèche de comptoir de bar qui rafraîchit après une soirée trop longue au milieu des riches hypocrites de Metropolis ou Gotham. Sachant comme elle est dans ce politiquement pas correct, les personnalités du genre lui vont plutôt bien au teint vu comment elles ont le don de la faire rire. Sans doute malgré eux, mais qu'y peut-elle. En plus il a de la réplique bien amenée, ce qui ne fait que rajouter la cerise sur un gâteau à peu près défendable dans son ensemble.
« Non, vraiment ? On ne s'arrête pas aux activités découpage et collage à Gotham ? Je tombe des nues. »
Et elle secoue la tête alors qu'il se met à la comparer à ces super collants. Autant dire que cette remarque liée à l'odeur de colle dégoutante lui donne cette fameuse migraine qu'il lui intime de ne pas lui donner au demeurant. Est-ce qu'elle a vraiment envie de lui rappeler qu'en attendant ce sont les justiciers comme elle qui agissent auprès des gens qu'on préfère ignorer, ou ça se passe comment ? Parce qu'elle peut aussi se reléguer à juste sauver les riches, si ça l'arrange. Ou alors elle repart en Afrique et ils se débrouillent d'autant plus avec ce qui commence à gronder sévèrement à Gotham.
« Pour le combat, je m'en tiendrai à ceux qui sont vraiment un problème. Pour le reste ... je ne vous garantis rien. »
Vixen se fend d'un léger sourire, laissant entrevoir ses ses dents, et plus particulièrement ses canines. Une lueur semble aussi poindre dans ses iris pendant qu'elle plisse ses yeux. Autant d'indices d'expression corporelle pouvant d'ores et déjà donner une piste à Lockwood sur le fait qu'elle peut totalement être sérieuse quand à la teneur de ses paroles, ou peut-être, dans un faible taux de probabilités, elle ne fait que se moquer de lui. Malheureusement, vu sa posture, cela reste un très, très faible taux. Elle pose donc le bout de bois dans les mains du brun, qui visiblement n'a pas l'air d'avoir compris qu'elle lui donne de bonne grâce une possible piste.
« Bien ... passer de la simple intimidation à la mise en kit pour le marché noir. Typique de Gotham. »
Raille-t-elle un instant, non sans jeter un coup d'oeil dans les environs pour rester en alerte. Cela ne l'étonnerait pas que quelqu'un soit resté dans le coin au cas où des gens un peu trop curieux dans leur genre se montrent encore intéressés par les lieux.
« J'ai pu parler avec elle en privé. Même constat, elle veut abandonner. Elle a été plusieurs fois relancée par la compagnie Tricare pour accepter la compensation que feu son ami Bailey avait mis à son nom. Déjà, je suis assez étonnée que Tricare l'ait autant poussée pour ce que tout le monde affirme être un simple accident matériel. Si on rajoute en plus la mort de votre gars ... ça pue autant que cette colle. Enfin bref le bout de bois, Lockwood. »
De son index, elle appuie sur la poitrine du policier pour un peu le secouer. Parce que c'est bien beau de râler et de se moquer d'elle, mais la zambésienne n'est pas là pour participer à un concours de qui aura raison sur comment gérer les situations de merde du genre.
« C'est vous le Gothamite, et le détective, si je ne m'abuse. Il y a un nom d'entreprise de constructions sur ce bout de planche ou de je ne sais quoi en bois. Une idée ? Ou vous allez me rétorquer qu'il n'y a pas écrit pages jaunes sur votre front ? »
On ne peut pas dire qu'elle n'essaie pas. Bon, peut-être que ça lui fait plaisir de faire encore râler Lockwood. Juste un peu. Il est tellement charmant quand il se met à racler sa gorge et grogner tout ce qu'il peut pour dire que vraiment, elle ne l'aide pas, qu'il doit tout faire. Et si tant est qu'il le fait, Vixen commence à descendre tranquillement des décombres en lui laissant donc tout le temps de palabrer, et tout de même faire attention à ce qu'il ne tombe pas à terre. Sans son concours, cette fois. En tout cas, si Lockwood connaît l'entreprise derrière la construction et les rénovations, ils avanceront et pourront même se rendre par vol ou tout autre moyen à leur disposition jusqu'au site de dépôt connu de la dite entreprise, Dawson & Sandoval Fields.
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Sujet: Re: House of Ashes (Vixen & Aleck) Lun 1 Avr - 18:11
« Oui, puisque j’ai oublié ma crème solaire, j’aurais aimé votre sollicitude. » répondit ‘il donc du tac o tac avec même en bonus un rictus plein de cynisme ne laissant aucun doute sur la teneur de ses propos. De toute manière, avec ou sans rictus, on ne pouvait pas dire que Vixen était un tube de crème solaire sur patte… quoique, qu’elle prenne gaffe, l’idée de la transformer en indice 50 était presque tentant.
Enfin bon, un peu près moins poussiéreux, mais avec un bleu mal placé, l’inspecteur ne pouvait que continuer de saluer avec sa politesse propre la belle jeune femme aux allures de chat. Il n’avait pas cédé à la corruption et espérait jamais devoir mettre un pied dans cet engrenage qui vous plonge bien plus bas que les criminels, un homme de loi qui chute est à ses yeux encore pire qu’un mafieux. Pourquoi, elle lui parle d’activité d’éveil de la maternelle ? Elle avait des envies de loisir créatif ? Pourquoi pas… Son costume serait sans doute plus claquant avec quelques gommettes ! Voilà qui détaille l’ensemble avec un petit sourire au coin des lèvres, oui une petite étoile sur la cuisse, une chaîne de gommette ronde, un peu de stylo à paillette sur le ventre et elle serait magnifique !
« Oui vraiment, … pourtant l’atelier customisation des costumes aurait un franc succès ! »ironisa til avant de pouffer, car cela n’avait presque plus de sens. Ce qui, en revanche l’était, est qu’elle allait encore être dans ses pattes, comme la majorité de ses copains aux costumes discutables… pas la peine de secouer la tête, elle reste une emmerdeuse. Certes, elle a moins le bon sens d’être du bon côté de la justice et de mettre sous les verrous quelques personnes, or… elle est le symbole d’un mal : celui de devoir faire justice soit même à cause de l’inefficacité d’une police, sans moyens et de plus en plus corrompue, autant par l’argent que par les dépressions… si on donnait les moyens à la justice d’office, ces clowns ne seraient plus là arpentés les rues, mais auprès de la police avec un uniforme et non des paillettes moulantes ! Enfin, cela arrange aussi certains, qui n’ont pas envie de cadre, qui estiment faire mieux sans l’organisme de la grande balance !
Bien, ils ne vont pas se battre et fort heureusement, cela n’avait pas de sens, les mots sont plus appréciables ! Et amusant quand même ! La migraine, il allait devoir vérifier dans la voiture ses Doliprane, qu’il devrait nommer « anti Vixen ». Il se contentant d’un haussement d’épaule aux jolis crocs de la demoiselle. Cela lui donne du chien, ou bien du félin ? L’expression rend moins bien… et elle pouvait donc mettre ses jolies quenottes dans les trachées de ses « problèmes » ? Eh bien, qu’elle ne le fasse pas devant lui, sinon, elle allait connaître la vie palpitante d'un pot de crème solaire ! Il ironisait dans sa tête, pourtant, il avait quand même la conviction (sûrement fausse, or, il aime croire qu’il y a des super collants, qui ne tuent pas) à, qu’elle préférait des coups des griffes à celui des crocs dans une jugulaire.
« Vous allez faire concurrence à Catwoman. » dit-il même s’il n’avait nul comparatif à faire face à la reine des voleurs.
Ils évoquèrent donc leurs trouvailles et surtout les intimidations et la mise en kit d’un témoin… il eut un faible frisson… « Les organes sont intraçables une fois là-bas… » murmura t’il pour lui-même, à cause de la belle image lego qu’elle lui avait donné sans le vouloir… il sortit son téléphone, mais ne voyant toujours pas de SMS de son indic. « Oui, il manquait des morceaux à la victime. Il y a plusieurs solutions à ça, mais le marché noir … reste le plus courant. Malheureusement. »
Il écouta la suite des propos sur la femme restée dans une chambre d’hôpital… Normal, qu’elle souhaite abandonner après son séjour et surtout l’impuissance d’un combat devenue dangereux pour sa vie. Il hocha la tête, la colle montait au cerveau et cette odeur en deviens piquante pour des sens développés… ce bout de bois était une preuve, une petite parmi tant d’autres ou ces vêtements au milieu des décombres… la femme cru bon de le toucher et il fronça les sourcils.
Oui, c'est lui le détective et elle, elle était quoi ? Le petit bouffon qui donne des blagues ? Oh voyons Aleck… il était mauvais, alors qu’il ne le pensait pas.
« Ni même google. » répondit-il pour la tacler et faire un pas, pour retrouver un peu la sphère privée, bon dans les faits, il était tactile et le contact le gênant que rarement… Or là, il avait envie de faire chier et de bouder comme une princesse ! Bon peut-être pas. « On pourrait y faire un tour, mais avant, je finis mon tour, afin de trouver d’autres indices. Libre à vous de mettre à disposition vos sens… À moins que vous me disiez qu’il n’est pas marqué « fido » sur votre front ? » il lui fit un rictus du même acabit qu’elle lui avait sorti et se mit en route, retrouvant un bout de tissu, un bleu de travail … Quelques minutes plus tard, il semblait avoir une manche plus loin. Il s’y approcha, avant de tirer et … de se retrouver avec un bout de bras dans les mains…
« Nom de Merlin ! » il manqua de lâcher le bout saignant… le corps était sans doute dessous ! Cela le surprit et le dégoûtait tout en même temps. sur la manche, il était marqué le nom de l’entreprise de construction ? Ils tuent leurs employés ? Il pouvait remercier sa fonction, d’avoir entraîné son estomac à bien pire… ou bien l’odeur de colle qui l’empêche de sentir le fumet macabre. « Il y a vraiment quelque chose qu’ils ont essayé de cacher ici… » il reposa le bras et appela le commissariat dans la foulée, afin qu’ils envoient des équipes. Le nombre de cadavres augmentés…
« Vous êtes pas malades en voitures j’espère ? » demanda t’il en cachant le bras, pour l’envoyer à son collègue et commencer à marcher vers la fin du chantier. Au loin, les sirènes de police s’entendaient. « Vous venez avec moi avant que la police arrive, ou on se rejoint au… » il regarda l’adresse de l’entreprise de construction, qui était quand même à quarante minutes de cet emplacement… il lui montra l’adresse « au 38 rue, Lincoln ? »
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Sujet: Re: House of Ashes (Vixen & Aleck) Lun 1 Avr - 21:48
Wind wind howling in my face, tearing up the asphalt. I'ma getting up in the place. Run, run no where left to hide. I must take a stand now, find the strength inside. Welcome to the vortex, absolute ground zero of my heart, pinnacle of the apex. Nothing's gonna tear my soul apart. -- feat. @Aleck Lockwood
Franchement, par moments, Mari se dit que Lockwood a de la chance d'avoir une belle gueule. Non pas qu'il lui fasse de l'effet, loin de là. Mais disons que professionnellement parlant, et supputant que malgré son caractère il doit avoir une vie privée (et un certain "talent" dans des circonstances moins sombres), elle se retient parfois dans l'envie de lui montrer réellement à quoi lui servent ses griffes. Mais pas que. Elle pourrait prendre par exemple en appeler au rhinocéros et lui casser les côtes ? Ou bien lui écraser le dos directement avec la masse d'une baleine bleue ? Non, là elle risquerait de tout bonnement le réduire en bouillie. Le mamba noir ? Non plus, il serait capable de dire dans son dernier souffle à quel point il avait raison, combien elle est une personne toxique, comme tous les super collants. Alors il faut rester zen, sourire, en rire à son nez, sans cesser ces œillades ô combien plissées, pernicieuses, révoltantes qui l'agacent.
« Je vais finir par croire que les chats sont la seule race animale capable de survivre à la toxicité de cette ville. »
Oh elle sait qui est Catwoman, mais elle n'en dit rien. Cela la fait pendant rire intérieurement que son amie fasse autant d'effet à ces pauvres hommes. À croire qu'ils n'ont jamais senti de leur vie ce que ça fait d'avoir une femme vraiment libre en face d'eux, qui ne se prend pas pour un enfant sorti de la cuisse de Jupiter. Et si on la rapporte à sa personne, ça ne veut dire qu'une chose : elles ont vraiment le don de les tendre comme des draps restés trop longtemps fripés. Enfin soit, Lockwood a raison. Les organes, ce n'est pas comme les bijoux de luxe. On ne peut pas leur graver de numéro de série. Ils se doivent de rester intacts, ce qui les rend d'autant plus intraçables en raison du fait que, même dans le milieu médical de joyeux lurons s'en donnent à cœur joie (elle est bien bonne) pour falsifier les listes de dons d'organes.
La mention de google lui fait pincer singulièrement les lèvres. Elle se retient. Elle se retient si fort de répondre impulsivement un encore moins gogole, on reste donc saufs, qu'elle en sent la vague de frissons courir de ses épaules à sa chute de reins. Pour pallier à cette désagréable sensation, la zambésienne masse donc autant son muscle sterno-thyrodien que le trapèze.
« C'est le nom du chien de votre brigade ? Mignon. »
Traduisez mignon par cela montre le clair manque de créativité et d'intelligence dans vos rangs, bien que le sarcasme soit réellement présent dans son intonation, et donne ainsi une claire déduction à ce cher membre des forces de police. Le temps de descendre cependant, elle entend le brun sortir son invectivé favori dans toute cette verve qui a le don de la faire sourire et stimuler son Schadenfreude. Elle se retourne pour lui faire face, restant en équilibre sur une poutre de soutien qui ne soutient plus vraiment grand chose.
« No shit Shelockwood. »
Et enfin, il lui donne une adresse. 38. Rue Lincoln. Mari remonte donc à hauteur de Aleck pour le dépasser et ainsi atteindre les hauteurs les plus à même de lui permettre sa prochaine action.
« Bien que la proposition soit tentante, je ne suis pas femme à me faire conduire. Du moins, pas entièrement. »
Ses doigts se placent ensuite sur son Totem et, dans une fascinante énergie spirituelle, un animal se dégage un temps de son corps pour prendre forme de toute son impériosité, sa puissance en déployant ses imposantes ailes. Et il voit. Il voit Vixen fléchir ses ses jambes, pencher sa poitrine et sa tête comme le ferait un oiseau, avant d'impulser sur ses bras et ainsi s'envoler.
« On se retrouve là bas. Oh et attention aux empreintes sur votre bout de bras. »
(...)
Et la voilà sur place sur les hauteurs d'un autre bâtiment lui permettant de balayer les environs et guetter l'arrivée de Lockwood. D'ici, elle voit la présence de personnel s'attelant à des tâches tout à fait normales pour des employés du bâtiment ou du terrassement. Rien d'illégal, pas d'arme à la ceinture. Des hommes normaux, en apparence. Quand elle voit enfin celui-ci sortir d'une voiture qu'elle suppute être la fameuse voiture dans laquelle elle aurait dû monter bien des minutes plus tôt, Vixen sauter et glisse souplement de son point de vue pour le rejoindre. Elle se place à ses côtés et lui désigne d'une légère levée de menton les gens encore présents sur le petit chantier se trouvant non loin du bâtiment.
« Tiens, regardez, des employés. Vous allez pouvoir les interroger à convenance. Je reste à côté de vous, et sous couverture évidemment. Je ne veux surtout pas vous gêner dans votre enquête. »
Et là voilà qui disparait, alors qu'Aleck a juste le temps de voir un caméléon fantomatique se poser sur son épaule. Oui, Vixen est devenue invisible pour suivre l'enquêteur et ainsi ne pas diminuer ses chances de glaner des informations en raison de sa présence. Si ce n'est pas gentil de sa part.
In dreams I never left, I had courage like the beast. My eyеs, they never flеd, my arms would always reach. You've hardened with your words, maybe fear is armor too. My voice is not that strong when hurricanes come running from you. I am raindrops in the flood. I am emptiness, I am hope. I am lonely in a crowd but when you hear me you'll be near me, stay with me in the flood(skins) endlesslove.
Mari McCabe
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Sujet: Re: House of Ashes (Vixen & Aleck) Mar 9 Avr - 16:14
Elle n’avait pas tort sur les chats, ils étaient partout dans le monde. Ils savent s’adapter et faire d’une ville un royaume.
« Et les rats… ce qui est profitable pour les chats en effet. » répondit ‘il après tous les rats, ils en avaient plein les ruelles et il ne parlait pas de ce fascinant rongeur capable d’adaptation et de repeupler une cité en quelques mois. Ces rongeurs à, sont parfois beaucoup plus intelligents que les rats à deux pattes. En tout cas, il répondait aux frasques de miss Doliprane et que ça lui plaise ou non, elle savait très bien qu’il avait le sens de la réplique. Alors, qu’elle tire la gueule pour retenir ses mots, c’est une forme de victoire… ah finalement non, elle parlait d’un chien de la brigade… si seulement ils avaient une mascotte ou même une brigade cynophile ! Enfin si, mais elle était extérieure au commissariat et peu de chance que les malinois ne se nomment pas Fido ! Après si elle n’avait pas la référence ce n'en serait pas bien grave, il aurait dû dire Rantanplan, comme cela, elle aurait eu un nouveau surnom.
« Non, notre mascotte se nomme Jake ! » un tir gratuit pour son coéquipier et meilleure amie qui était quand même plus sympa et rigolo que lui face aux collants.
Quand il la rejoint après sa macabre découverte, elle le fit rire un peu, Shelockwood, c’est bien trouvé dis donc !
« Vous me laverez la langue avec du savon, Watxen » il lui fit un petit rictus, comme quoi parfois il peut être agréable non ? Il l’était souvent or tout dépend du contexte et de la compagnie.
La police allait débarquer et elle est à cran avec les collants (merci Batman), donc valait mieux que le minois du chat canaris disparaisse au plus vite… et tant qu’à faire elle aurait au moins l’air assortie à sa voiture jaune tiens… mais madame ne se fait pas conduire ? Euh… d’accord, ce n’était pas foncièrement une phrase vouée à être anti féministe, mais soit. Elle avait donc un véhicule ? Une super moto (oui il l’imagine bien motarde avec son costume presque en cuir), la Vixvroum ! Enfin pas de véhicule a deux ou quatre roues, mais une main sur le collier et une fulgurante énergie magique qui donnerait des envies de sort a l’homo magie quand de belle ailes sortent du dos de Miss migraine !
MAIS QUELLE CRANEUSE ! OH QUELLE ******** !
Car la hausse de magie et qui plus est animale, lui donne ce fourmillement dans tout son être de se transformer aussi ! Nom de Merlin ! Il devait contenir cette envie et cette envahissante magie tentatrice ! Pire qu’un succube celle-ci !
Gnagna lui aussi il pouvait sortir les siennes toutes blanches, celle de l’a harfang et voler aussi comme un fichu rapace dans toute la ville ! SAUF que lui, il ne peut pas se pavaner comme un paon, car il n’a pas embrassé la ligue des collants impétueux ! Tss la magie reste secrète chez les Homo magi !
AH bah voilà, elle venait de le frustrer d’une force !
Et il allait donc vers sa voiture prenant sa boite de Doliprane et prendre un médicament du « Vixenoprane » car voilà, résister à la magie pour ne pas sortir sa paire d’ailes, avait demandé trop de concentration ! Fait chier !
Il arriva donc plus tard, le temps de la conduite et des rues encombrées de Gotham a cet entrepôt, sortant de sa voiture jaune, une belle cupra au style agressif et termina le chemin à pied, où il retrouva miss frustrante, qui avait déjà dû faire le tour quatre fois du bâtiment avec le logo de l’entreprise, il avait une partie entrepôt et sûrement dedans, la partie magasin avec les archis, ingénieurs matériaux (qui font mal leurs taff) ou les commerciaux dans le bâtiment. En-tout-cas, la population devant semblait clean.
Il n’eut pas le temps de répondre qu’elle disparaît grâce à un petit caméléon, voilà un nouveau sort qui lui procure quelques frissons dans ses os… lui aussi en avait un, « le manteau de caméléon » qui lui servait fort bien. Machinalement, il agita le bras là où était Vixen afin de voir s’il touchait une zone « dure » ou bien si en prime elle avait aussi le côté intangible.
« Oui, vous n’êtes pas en civil. » et ce jaune aussi saillant soit-il est trop tape à l’œil. Il s'avança donc vers le parking où il fut vite alpagué par un gars avec qui il échangeait sur un projet factice de construire un cabinet d’avocat… Il sortit une fausse carte commerciale d’un cabinet inexistant afin de prouver ses dires (et il en avait pleins des cartes dans ce genre), et l’un des employés héla un commercial qui le guida à l’intérieur. Il dut passer dans un tourniquet, mais il fit exprès un peu de temps, espérant que son air « pas futé » puisse permettre à Miss caméléon de se glisser dans son dos et… et quand il sentit la magie, il enclencha le tout pour se retrouver à l’intérieur. Rien de suspicieux, sauf peut-être cette porte avec une badgeuse au fond du magasin, qui pouvait être une réserve… or, il avait un homme en civil, mais assez baraqué pour qu’il ait des soupçons.
Aleck suivit le commercial jusqu’à son bureau vitré et commença à la baratiner sur son projet, essuyant d’orienter sur les réussites de l’entreprise et de pousser un peu plus loin sur cet immeuble écroulé, qui semblait être inconnu à cet homme en face… Oh vraiment ? Il faudrait qu’il trouve une manière de le faire aller chercher un truc ou de déclencher l’alarme incendie qui mouillerait tout le monde, mais qui au moins aurait le bon goût de faire sortir la majorité des personnes (Sauf peut-être le gorille ? De quoi acter s’il ne bouge pas, le côté intriguant de la porte avec la badgeuse)… tout en volant ce badge sur ce bureau posé négligemment.
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Sujet: Re: House of Ashes (Vixen & Aleck) Jeu 11 Avr - 18:36
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[size=13]Bien entendu pour laisser planer le doute quand au petit manège de Lockwood pour vérifier si oui ou non elle se tient toujours à ses côtés, Vixen recule, et lui laisse donc la joie de croire qu'elle est intangible et donc inatteignable. Ce qui dans les faits est faux, car en forçant du regard, on peut décemment remarquer ces petites zones de flou apparaissant quand elle bouge. Mais là, elle reste figée, ou du moins ne s'agite pas, ne marche pas. Elle ne fait que reculer d'un pas et observer l'enquêteur tester les airs, à défaut des eaux. Bien que cela soit fort amusant de regarder le brun râleur agiter ses mains et bras dans des brassées, ils se doivent quand même d'avancer à un moment non ? Non. Pas encore. Tout du moins, pas après cette remarque concernant sa tenue.
« Je sais déjà que je suis un rayon de soleil dans votre trop grise et morne vie Lockwood, mais tout de même. Soyez moins expansif, ça risque de mettre en péril notre couverture. »
Suite à cette dernière remarque, Mari le laisse prendre les rennes et faire son petit numéro. Tiens donc, il se fait passer pour un avocat ? Heureusement qu'elle ne peut pas rire, parce qu'il faut l'avouer c'est un peu risible quand on voit le profil de l'individu. Enfin qui est-elle pour juger un inconnu dans son premier contact avec l'adorable personne lui faisant face. Il ne sait décemment pas à qui il doit faire face. Il faut avouer qu'il a de la tchatche quand il fait un effort, parce que la zambésienne a beau être de mauvaise foi et être insensibles aux "charmes" de Lockwood, il sait comment mettre dans sa poche ce gars qui a l'air de boire littéralement ses mots comme si il s'agissait de la meilleure boisson de sa journée. Chacun ses plaisirs, se dit alors la justicière en roulant des yeux. Du moment que ça fonctionne, il valait mieux laisser les choses couler. Elle les suit à l'intérieur du bâtiment, jusqu'à cet ennuyant tourniquet. À sa grande surprise, Lockwood se montre intelligent, bien qu'en cet instant il joue les imbéciles. Son petit tour lui permet effectivement de passer sous le manque d'attention de se glisser dans le dos de son binôme, bien que la proximité lui soit gênante. Elle fait donc avec avant de s'écarter rapidement, mais pas de manière abrupte non plus.
Mari remarque ensuite la présence de cet homme qui dénote du reste des employés présents. Trop baraqué, trop fait pour intimider son environnement et laisser ainsi peser une pression sur quiconque n'ayant pas l'habilitation nécessaire pour passer cette porte à badgeuse. La jeune femme fronce les sourcils, pensive. Cela signifie qu'à moins d'asticoter tout ce petit monde, ils en resteront là, chose qui lui est impossible à concevoir. Donc, il est temps pour elle de s'écarter et établir comment elle pourrait créer une diversion leur permettant de vaquer à leur petite investigation des lieux. D'abord, trouver la salle de sécurité. Chose facile en raison du fait que la zone est coincée dans un coin du bâtiment pour faire croire qu'il n'y a vraiment pas cette fameuse porte. Entrant donc en toute discrétion en jetant un oeil au demeurant pour vérifier le nombre de personnes en présence ainsi que leur degré d'attention. Une seule personne de présente. Bien, ça arrange ses affaires vu qu'elle aura un total effet de surprise. Effet qui ne tarde pas à se dévoiler sous la forme d'un violent coup fait d'un nez frappé contre le tableau de surveillance et d'une clé de nuque pour étouffer le gardien des lieux jusqu'à évanouissement. Ceci fait avec une précision, fluidité et rapidité impressionnantes, la justicière en profite pour récupérer le badge de sécurité, pianoter un peu afin de trouver ce qu'il faut pour désactiver les caméras et enfin enclencher ce qu'il faut afin que les alarmes crèvent de leur doux son les tympans de tout le monde. Avec ... malheureusement ce bonus douche gratuite qu'elle n'avait pas prévu.
« Fais chier. »
Peste-t-elle en voyant les employés se presser en raison de l'eau s'écoulant des systèmes accrochés au plafond. Ça n'arrange pas ses affaires parce que dans les faits oui, elle est invisible. Mais pas intangible. Ce qui veut dire que si il reste des gens sur les lieux quand elle se décidera à sortir, il vont la repérer comme si elle était une sorte d'esprit à forme humaine se baladant tranquillement dans des lieux qui lui sont normalement interdits. Et comme on aurait pu s'y attendre, l'armoire à glace sur pattes est toujours à son poste. Il essaie même de contacter la zone de surveillance où ... justement elle se trouve. Et où, le surveillant est momentanément indisponible. Ce qui veut dire que si ils ne réagissent pas ... Ah. Justement. Manque de bol, le gars réagit et commence à ouvrir cette fameuse porte menant vers une zone de destockage et de machines de chantier. Vixen court vers la dite porte pour la retenir alors qu'Aleck arrive. Aleck qui ne se gêne pas pour la dévisager d'ailleurs dans le but de la juger.
« Eh, oh. Ce n'est pas ma faute si vous avez la folie des grandeurs de vouloir une douche durant un incendie. »
C'est vrai ça. Quel est l'intérêt ? Un extincteur c'est bien mieux. De vrais flemmards ces américains.
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Sujet: Re: House of Ashes (Vixen & Aleck) Sam 20 Avr - 19:36
Il ne rencontra aucun corps sous ses mains, juste l’air et le vide… enfin selon certains scientifiques le vide n’était pas le bon mot, puisque l’air est composé de beaucoup de choses, cependant il n’avait pas tant envie de dire : « j’ai touché les molécules sans rencontrer celle composant le corps de Vixen et de son costume jaune ». Certes, cette couleur était sans doute la favorite d’Aleck, elle gagnait un point de charisme pour ça, mais elle reste en costume, un costume très visible de petit poussin ! Bref, tout cela pour dire qu’il ne la sentit pas autrement que par ses sens magiques… donc soit elle est intangible soit elle a fait en sorte d’éviter sa main. Le premier est impressionnant, le second bigrement logique et distrayant !
« Je dirais que je chassais une guêpe ! » répondit-il, bien trouvé pour le rayon de soleil ceci dit. Il devait le noter au coin de sa tête pour lui ressortir.
Enfin en avant pour la ronde des mirages, celle de la plus grande comédie du moment : être un de ses blaireaux d’avocat qui vous emmerde quand on souhaite coffrer sous verrou un criminel. Les seuls avocats un tantinet respectables sont ceux qui sont pour la justice, défendant les victimes, cependant, ils ne gagnent pas beaucoup leur vie et donc ils ne sont souvent pas si bons ou investis. Ceci dit Aleck ne jouait pas l’un de ses avocats de la défense mais plutôt les autres, il avait tellement d’exemple en tête avec leur discours tout fait, qu’il était presque trop facile d’enrouler ce type en face, ce commerciale qui lui aussi était dans cette cours des mirages : celle de vendre du rêve pour détrousser un portefeuille.
Une fois dans l’antre avec un Vixen aussi transparente que la dignité du commercial (oui c’est gratuit, mais ce genre de personnes était comme les journalistes des sales vermines), Aleck en profite pour regarder autour de lui tout en regrettant presque de ne pas pouvoir avoir d’oreillette avec la super héroïne, afin de suivre son avancé ou même établir un plan en même temps… Cela dit, il faudrait avoir une capacité mentale, pour ne pas se faire attraper. Alors, il fallait improviser tout en espérant ne pas gêner l’autre.
Le commercial alla lui chercher des échantillons, afin de soutenir ses arguments sur les matériaux choisis et leur qualité… une ouverture permettant à Aleck de déclencher l’alarme incendie qui se transforma donc en douche commune dans l’atelier ! Il attrapa le badge sur le bureau. La sonnerie était déplaisante, il fallait si elle était agréable, personne ne sentirait le côté important de se bouger les fesses ! Il fit de même, laissant le gros des personnes sortir, tout en se cachant vers les étagères métalliques remplies de diverses matières et matériaux de construction… Il aurait bien éteint les lumières, comme lui et sans doute Vixen étaient nyctalope, cependant, il faisait jours dehors et on n’éteint pas le soleil ! Quoique, il est presque certain qu'une ou deux tarés de Gotham aient eu cette envie ! Alors, il se dirigea vers l’armoire à glace, qui ne devait pas distribuer des Ice creme saveur citron, mais plutôt saveur pistache dans la truffe… mais l’homme déjà décidé de s’engouffrer dans la mystérieuse porte ! L’inspecteur n’était pas pressé de la retenir, qu’il marche donc devant son grand gorille, lui comptait s’infiltrer après… et demander un mandat exprès au juge avec qui il était souvent en contact, une fois qu’il serait à l’abri… pour cela, il comptait se mettre dans un des bureau quand … Il vit une silhouette transparente qui se faisait découvrir à cause de la pluie, cela lui arracha un rictus. C’est tout con, mais il savait la galère que cela représentait quand lui-même était dans son sorts de manteau de caméléon. Il avait donc l’air aussi distrayant et sûrement un peu concon non ? Il pouffa à la remarque de miss migraine !
« Oh ne me faites pas croire que vous n’aimez pas les grands moments de show ! » chariat t’il constatant qu’elle n’était pas intangible et il lui montra le badge. Il devait avoir une tête de chien mouillé avec ses fringues humides. « Je vous laisse passer devant, vous pourrez toujours le neutraliser, je vais juste couvrir le côté légal si on a des soucis. Deux minutes. » dit-il en allant se mettre à l'abri pour envoyer un texto préférait au juge et le remplir, … bien entendu il allait râler mais il avait l’habitude avec les policiers souvent en infiltration. Et puis, il a qu’a faire son boulot il s’était engagé à faciliter le travail des quelques rares flics non corrompus quitte à prévoir en amont la paperasse, alors que cela serve ! Surtout qu’Aleck faisait ça pour se couvrir, sinon il aurait fait sans et se serait encore fait engueuler avec la procédure ! C’est sûrement un des seuls avantage d’une ville aussi corrompue, pouvoir finir par jouer avec les règles pour faire un peu de justice dans le flot d’injustice ! Même si Aleck allait un jour se faire taper sur les doigts encore plus fort !
Une fois fait, il rejoignit prestement la justicière dans le couloir sombre menant à un entrepôt, où déjà le policier entendait des bruits d’animaux…
« J’espère que ce n’est pas un laboratoire clandestin… » murmura t’il en ayant retrouvé la présence de Vixen… sinon bonjour la nouvelle horreur sur les tests et autres expériences douteuses…
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(rappel : un Trafic d’animaux rares, en voie d’extinctions mort et vivant)
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Sujet: Re: House of Ashes (Vixen & Aleck) Mar 21 Mai - 11:08
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Dans les faits, cela s'est plutôt bien passé. Plutôt bien. Même si Mari ne sait pas qui est réellement l'élément déclencheur de cette douche anti incendie généralisée (rappelons qu'elle s'en croit responsable en raison de son manque de compétence dans le volet informatique), et peste de se savoir salie d'une eau bien moins satisfaisante que celle d'une vraie pluie d'été. Au moins, il y en a un qui apprécie le moment en pouffant face à ces remarques ou la vision offerte de Vixen ne souhaitant pas encore sortir de son état d'invisibilité. Cependant, la zambésienne ne peut guère plus esquiver ce moment, car leur petit coup de folie a d'autres répercussions sommes toutes peu agréables ... comme le fait qu'une certaine armoire à glace est passée par cette porte très secrète, qui potentiellement peut les amener dans un endroit regorgeant de secrets alléchants pour leur affaire. Et qui dit secrets alléchants, dit malheureusement danger. Mari grogne donc à l'endroit d'Aleck quand à sa remarque sur les shows, car celle-ci fait directement référence à son job officiel.
« Je ne vais pas vous cacher que dans d'autres circonstances me faire arroser m'aurait déplu. Mais là n'est pas la question, pas vrai ? »
Ceci dit, elle finit par se concentrer et toucher son artefact pour de nouveau apparaître aux côtés de Lockwood. Elle est trempée. Tout bonnement trempée. Lockwood n'est pas mieux, et avec son sourire d'espiègle fouine de flic, la vision ne fait que donner à la justicière plus de raisons de se moquer à son tour de sa personne. Sauf que le brun lui sort en suivant qu'elle doit attendre encore deux minutes. Deux minutes sous ces eaux. Il est sérieux ? Oui. Il est sérieux. Et tout ça pour quoi. Pianoter sur son téléphone. On ne va pas se mentir, durant une bonne minute, Vixen fait la gueule avant de récupérer le badge des mains de ce gredin gardant les yeux rivés sur son cellulaire.
« Vous avez de la chance que je vous apprécie un peu, Lockwood. Envoyez votre testament à votre personne de confiance, je nous ouvre la porte. »
Ceci dit, elle passe sèchement le badge devant la borne reliée à la porte, et celle-ci s'ouvre dans une sonnerie bien plus discrète que celle ayant jusque là eu voie au chapitre pour leur faire saigner les oreilles. Au moins, cet élément lui permet de ne pas frontalement se frotter à la solidité de cette porte, et ainsi donc éviter tout usage inutile d'énergie. Vixen est donc la première à avancer, pendant que l'âme du gorille à dos argenté l'enveloppe de sa rude et solide carrure. Il s'agit bel et bien d'une zone de stockage de divers matériaux de construction, et de machines de chantier. Elle voit une pelleteuse, ainsi qu'un tractopelle. Mais rien de bien folichon, ou plutôt de quoi se mettre sous la dent. Sincèrement, elle ne comprend pas le besoin qu'ont eu ces gars de condamner l'accès au quidam moyen. Jusqu'à ce qu'elle tombe sur une autre zone, où des bureaux se dévoilent dans ce qui ressemble à un préfabriqué. Elle y entre sans attendre Lockwood, et fouille les papiers. Sans doute sur un coup de chance inespéré, la zambésienne tombe sur un reçu au nom du fameux gars mort durant l'effondrement de l'appartement. Puis, sur un autre bureau un acte de démolition avec la mention exacte de la rue gothamite où a eu lieu la catastrophe.
« Évidemment ... »
Grogne-t-elle en rassemblant cette trouvaille avec la première. Vu que l'immeuble a vu sa structure ébranlée, ils vont démolir pour en refaire un neuf, avec sûrement des surplus de coûts. Il fallait donc trouver le devis, affilié. Qu'elle ... ne trouve pas.
« Lockwood, si c'est votre amante qui finalement vous retient au téléphone, dites lui de vous faire le téléphone rose à un autre moment et ramenez-vous. »
Lui somme-t-elle d'une voix plus portante, tout en continuant de fouiller. Le troisième papier intéressant concerne les matériaux stockés. Et là ... Vixen grimace, visiblement dégoutée à la vision de la chose. Ces enfoirés ont effectivement fait en sorte de fournir non pas du bois de construction classique, mais des récupérés de studios de films.
« Eh bien on dirait que nos chers amis, en plus d'être des escrocs dans les entourloupes à l'assurance, sont des enfoirés de dans danger public. »
Bien que le constat soit bien amené au regard des éléments, le binôme ne remarque pas que l'ami gorille disparu depuis est en train de mettre en marche le fameux tractopelle. Ils ont juste depuis le préfabriqué l'entente d'un moteur démarré. Et là, autant dire que ça ne sent pas bon. Vraiment pas bon.
In dreams I never left, I had courage like the beast. My eyеs, they never flеd, my arms would always reach. You've hardened with your words, maybe fear is armor too. My voice is not that strong when hurricanes come running from you. I am raindrops in the flood. I am emptiness, I am hope. I am lonely in a crowd but when you hear me you'll be near me, stay with me in the flood(skins) endlesslove.
Mari McCabe
Vixen Ø African's Pride
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